Prépare le petit déjeuner

Helen venait tout juste de se lever, il devait être aux environ de 7 heures. Les habitants de la maison et elle, avaient fini la veille, les rénovations. Enfin, Helen semblait satisfaite, il y avait longtemps que cette maison n'avait pas eu si fière allure. Bien que de remettre les lieux en états lui avait demandé beaucoup de force, elle était heureuse du résultat. Elle devait avouer que qu'en 7 jours, ils avaient fait du boulot incroyable. Helen arriva dans la cuisine vêtu d'un peignoir de satin blanc. Elle n'avait pas pris la peine de peigné ses cheveux, elle les avait laisser tombant sur ses épaules. Elle n'avait que pour soulier, une pantoufle déliquate fait du même tissus que son peignoir.

Helen s'assit un instant, regardant autour d'elle avec un sourrire fière. Puis soudain lui venu une idée. Pour célébrer la première journée de la nouvelle vie de cette demeure, elle se devait de cuisiner un gros repas. Elle avait l'habitude d'employé une cuisinière pour le tas de gens qui y vivaient, seulement aujourd'hui ce serait à elle de le faire. Qui sait, peut être qu'à la fin de la journée elle aurait recourt à nouveau d'une cuisinère?

Elle se leva, se dirigea vers le frigidaire sortit tout ce dont elle avait besoin pour concocter un merveilleux repas. Elle allauma le poêle et se mit à cuisiner une repas digne des plus grands festins. En moins de deux, elle eut tout fini. Elle mit donc la table, elle commenca par l'argenterie, puis elle mit les verres. Elle déposa sur la table quelque chandeliers, remplit les verres d'un jus de fruits et enfin déposa les assiestes à chaque place. Helen mit alors les plats qu'elle avait cuisiné avec amour sur la table, puis sonna la cloche. Cette cloche, ils venaient tous juste de la mettre. Elle y avait été mis afin de rassembler les gens quand un repas collectif avait lieu. Elle espérait que nombreux seraient les gens à venir.

Helen s'assit donc à nouveau, déposa son coude sur la table, elle s'appuya sur sa main. Ce matin elle était plutôt épuisé, les rénovations avaient complètement pris son énergie. Elle avait eu un regain soudain, en désirant préparer un bon repas à ses ouvriers et au nouveaux arrivants mais maintenant que le tout était fini, elle était à nouveau fatiguée. Lorsqu'elle était dans cet état, mieux valait de ne pas lui parler ou du moin, de ne pas lui tapper sur les nerfs. Elle avait envie de voir les gens heureux, de les voir manger, mais elle ne se sentait pas dans son assiette pour faire sa sociable. Ce matin, elle ferrait son hermitte.

Dans sa chambre, Victor était déjà levé depuis un bon trois-quart d'heure. Il avait facilement le sommeil léger le matin donc il avait toujours l'habitude d'être l'un des premiers à avoir les yeux grands ouverts. Par contre, il ne pouvait pas dire qu'il n'avait pas une gueule d'endormi. Le jeune homme dès ses levés les matins, il court tout droit vers les douches et descendre en bas pour prendre une tasse de café avec un petit déjeuner. Ce matin, il avait décidé de s'installer sur son grand lit, même pas habillé, en d'autres mots, il était resté seulement avec ses boxers. Dans ses mains, il tenait son violon avec l'archet. Sans faire de grands bruits, il essaya d'accorder le violon avec son oreille un peu fatiguée aussi. Après un certain temps, il soupira et déposa le tout à côté de lui sur le lit. Il se laissa tomber le haut du corps vers l'arrière pour s'étendre sur son lit. Le britannique fixa le plafond comme s'il cherchait une réponse à une question indéfinie. C'est au moment qu'il entendit un son de cloche au loin qui le fit déconnecter du plafond. Il se redressa un peu, qui pouvait bien faire sonner une cloche? Bien décidé, il se leva de son lit et prit un nouveau sous-vêtement, un pantalon noir et une chemise.

L'infirmier se dirigea ensuite vers sa porte et sortit la tête dans le corridor, il n'y avait personne en vue. Discrètement, encore dans sa tenue légère, il se rendit jusqu'aux douches pour en prendre une rapido-presto. Il enfila ses vêtements propres et ne prit même pas le temps de se sècher les cheveux. Monsieur s'était contenté de les frotter d'un bord et de l'autre avec sa serviette. Il lui arrivait d'avoir quelques frissons par l'eau de ses cheveux qui lui coulait dans le dos pour faire une petite transparence dans sa chemise blanche. Il envoya ensuite sa serviette et ses boxers dans le panier direction pour la landry et marcha doucement, pied nu, vers la cuisine. Victor pouvait entendre un peu son ventre gargouillé, il avait si faim à ne pas avoir suivi sa petite routine.

Une fois arrivée dans la cuisine, le jeune anglais vit la table à déjeuner toute prête pour accueillir du monde. Sur le coup, il fut surpris de voir ça, il n'avait pas eu de petit déjeuner tout préparé depuis un bon bout de temps. Il leva ensuite ses yeux vers une personne qui était assise à la table et qui semblait attendre le monde pour le petit déjeuner. Il n'osa pas dire un seul mot, se contentant de lui adresser un petit sourire fatigué et vite-fait. Il se dirigea ensuite vers le comptoir de la cuisine pour faire connaissance avec la bonne vieille cafetière. Il prit une tasse et commença à préparer un café. Durant l'attente, il garda le silence, ne posant pas une seconde son regard sur la jeune femme. Il était plutôt préoccupé à replier ses orteils qui se faisaient froids sur le plancher de la cuisine. Il avait toujours eu une mauvaise manie de se promener pied nu un peu partout dans la maison. Une fois le café prêt, il se servit une tasse et commença à la siroter. Après un instant, il leva les yeux sur la demoiselle encore assise à la table. Victor pensa qu'il pourrait tout de même être agréable pour celle-ci, s'il pouvait au moins lui offrir une tasse. Se raclant la gorge, il décida de prendre parole avec sa voix encore un peu fatiguée.

" Une tasse de café vous plairez?!... "

Helen n'avait pas entendu le jeune homme arrivé, elle était si fatiguée qu'elle était partit en quelque sorte dans un demi sommeil. C'est lorsqu'elle entendit les quelques bruits de la cafetière, qu'elle réalisa la présence du jeune homme. Elle leva alors yeux doucement vers lui et lui sourit doucement. Tant elle était fatigué, elle n'avait même plus la force de parler. Lorsque Helen réalisa que le jeune homme lui parlait, elle sortit de sa torpeur et entendit seulement la fin de sa question, Café vous plairais? Elle prit un moment à répondre, comme si il y avait un temps d'attente quelqueconque.
Au bout d'un moment, elle étira ses longues jambes fines, d'une blancheur anormale puis se leva. Elle s'approcha du comptoir et répondit enfin au jeune homme qui était arrivé.

-J'en prendrais un volontier!

Elle laissa alors sa tête aller vers l'arrière, les cheveux se balacant vers l'arrière. Puis soudain, elle se redressa et regarda plus attentivement le jeune homme. Elle ne l'avait jamais vu si auparavant. Soi elle ne l'avait pas remarqué, soi il ne sortait pas beaucoup. Après l'avoir observer plus longuement, elle ouvrit enfin la bouche.

-Dit, il y a longtemps que tu habite ici?

Helen n'avait pas pu bien connaître les gens qui habitaient l'endroit. Elle était partit si vite qu'elle n'avait pas prit la peine de tous connaître les gens et certains étaient arrivés durant son absence. Seulement, à ce moment, elle avait le goût de tous les connaitres. Elle n'avait pas travailler si fort pour rien. Plus elle le regardait plus, il l'intriguait. Il était assez mignion elle devait l'avouer. Elle finit par s'assoire sur une partie du comptoir comme elle aimait si bien, balancant ses jambes dans le vide.

Tout en sirotant son café, Victor attendait une réponse de la jeune femme assise. Pendant un instant, il se demanda si celle-ci n'était pas transformée en statue de sel à trop attendre ici. Quand l'inconnue décida de s'étirer les jambes, il fit presque le saut de voir une réaction de la personne. Par la suite, elle se leva et s'avança vers le comptoir non loin de Victor et lui répondit en même temps. À la suite de sa réponse, le jeune homme déposa sa tasse sur le comptoir et sortit de l'armoire une deuxième pour la demoiselle. Il lui versa le breuvage chaud et lui tendit ensuite doucement pour ne pas la renverser. À la fois, Victor écouta la question de la jeune femme et posa ses yeux miellés sur elle. Ensuite, celui-ci passa une main dans ses cheveux encore trempes et légèrement froid pour réchauffer son crâne comme si ça pouvait l'aider à calculer le temps de son arrivée ici.

" Je dirais... deux... presque trois semaines que je suis ici, et vous? Il me semble que je n'ai jamais croisé votre visage. "

L'aristo relâcha ses cheveux noirs et porta sa main vers le comptoir pour reprendre son café. Il prit quelques gorgées pour lui remonter l'énergie dans le corps et regarda la personne du coin de l'oeil, plutôt jolie cette jeune femme.

Helen prit doucement la tasse qu'elle avait entre les mains puis se mit à souffler tout doucement sur le café. Au bout d'un moment, elle se leva, puis sortit d'une armoire le sucre et enfin se dirigea vers le réfrigérateur question de sortir le lait. Elle versa alors le lait dans son café puis mis du sucre et termina par mélanger le tout. Elle porta alors enfin la tasse à sa bouche. Lorsque Victor répondit à ses questions, elle sourit. Il ne devait pas être très souvent présent étant donné que depuis son retour elle ne l'avait pas croisé. Lorsqu'il lui dit qu'il n'avait pas vu son visage, elle eut un léger rire.

- Oh, cela doit faire bien quelques mois! En fait, je suis propriétaire de cette maison!

Cela lui arrachait toujours un sourrire lorsque les gens lui demandaient si cela faisait longtemps qu'elle habitait ici. La plupart des gens ignoraient complètement qu'elle était propriétaire de l'endroit. Elle s'en fichait un peu, tant que les gens étaient bien dans sa demeure c'était l'important. Après avoir pris quelque gorgée de café et s'être râclé la gorge encore enroué par la fatigue, elle ouvrit à nouveau la bouche.

- Mais serai-je indiscrète si je vous demandais, quel est votre nom?